Serge de Fontanges. La Vagabonde Libertine. Editions de Minuit (pas les mêmes que celles auxquelles on pense immédiatement…)
Rien de bien sensationnel dans ce court texte illustré de quelques photos (« illustrations réalistes »). Serge de Fontanges en bon polisson du siècle passé, raconte l’initiation amoureuse de Jacqueline. A 17 ans, la petite chatelaine ne connait rien des troubles sensuels, prisonnière de la vie bien rangée que lui réserve sa mère, messe le dimanche et bienséance quotidienne. Jusqu’à ce que vienne au domaine la « grande cousine » de Jacqueline, Colette de Verneuse… Voyant en Jacqueline une proie facile, Colette provoque gentiment la jeune fille en l’embrassant un peu partout et en exhibant son anatomie dans l’herbe haute du jardin romantique. Jacqueline est troublée, on le serait à moins. « Oui, car il doit être bon de fourrager parmi cette herbe verte écrasée, et d’effleurer des lèvres, la brune toison très fine dont les touffes frisées sortent si tentantes de la large fente de soie ! ». En effet…
Dans la deuxième partie du roman, après avoir goûté les joies du lesbianisme, Jacqueline va découvrir la virilité. Roger de Huchetelles, le fils d’un vieil ami de la mère de Jacqueline, ramène ses jolies fesses au château. Il est un peu en avance… En se promenant dans les jardins à la recherche de Jacqueline, il la découvre en plein ébat coquin avec sa cousine Colette. Cette dernière, les jours suivants, se fera un plaisir de déniaiser le jeune Roger, puceau, penaud mais très curieux et de l’amener dans les bras (et les cuisses) de Jacqueline. Morale de l’histoire :
Rien de bien sensationnel dans ce court texte illustré de quelques photos (« illustrations réalistes »). Serge de Fontanges en bon polisson du siècle passé, raconte l’initiation amoureuse de Jacqueline. A 17 ans, la petite chatelaine ne connait rien des troubles sensuels, prisonnière de la vie bien rangée que lui réserve sa mère, messe le dimanche et bienséance quotidienne. Jusqu’à ce que vienne au domaine la « grande cousine » de Jacqueline, Colette de Verneuse… Voyant en Jacqueline une proie facile, Colette provoque gentiment la jeune fille en l’embrassant un peu partout et en exhibant son anatomie dans l’herbe haute du jardin romantique. Jacqueline est troublée, on le serait à moins. « Oui, car il doit être bon de fourrager parmi cette herbe verte écrasée, et d’effleurer des lèvres, la brune toison très fine dont les touffes frisées sortent si tentantes de la large fente de soie ! ». En effet…
Dans la deuxième partie du roman, après avoir goûté les joies du lesbianisme, Jacqueline va découvrir la virilité. Roger de Huchetelles, le fils d’un vieil ami de la mère de Jacqueline, ramène ses jolies fesses au château. Il est un peu en avance… En se promenant dans les jardins à la recherche de Jacqueline, il la découvre en plein ébat coquin avec sa cousine Colette. Cette dernière, les jours suivants, se fera un plaisir de déniaiser le jeune Roger, puceau, penaud mais très curieux et de l’amener dans les bras (et les cuisses) de Jacqueline. Morale de l’histoire :
« Quand Jacqueline quelquefois pense aux leçons de son catéchisme, elle ne peut s’empêcher de sourire, car la luxure lui apparaît maintenant sous les traits de la jolie Colette de Verneuse ». Amen.
6 commentaires:
Tout cela m'a l'air très mignon...
La semaine commence fort, merci !!!
...toute en douces saveurs libertines...
...hmm et à travers le temps, nous envole cette douce brise...
Tout ça m'a l'air bien chaste...
thank you for the images
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