Une jolie couvrante allemande, la première sur le Carrefour!
Al Cann. Ein mann namens Dillinger. Martin Kelter Verlag, 1969.
vendredi 2 septembre 2011
La pucelle du carrefour
Jean Mascaraigne. La pucelle du carrefour. Editions Prima. Collection gauloise, 1928.
Pour ce neuvième post consacré aux éditions Prima, voici un savoureux petit roman de Jean Mascaraigne. Les amateurs de gaudriole explicite n'y trouveront pas leur compte mais ce n'est pas la spécialité de la collection Gauloise. Il s'agit une fois de plus d'un roman leste et canaille à l'humour très années 20. Revenant du service militaire, le môme Frédé, Frédéric Manillon, souteneur de père en fils, cherche une fille pour reprendre le travail. Dans son bar habituel, le bar des Quatre-Coins, il entend parler d'une pépée peu ordinaire qui se fait surnommer la Pucelle du Carrefour. Intrigué, il se rend sur le trottoir de la belle pour tenter de comprendre. Depuis quelques mois, la fille a un succès fou avec les hommes et se prétend vierge... En effet, c'est une fois le miché monté dans sa chambre, la belle Mado lui annonce qu'elle est vierge. Le type la paye et raconte le lendemain qu'il a passé la nuit avec une vierge. Le bouche à oreille fonctionne si bien que Mado devient la plus populaire des prostituées. Son commerce si particulier va même jusqu'à lancer des imitatrices qui prennent sa place sur le trottoir pendant qu'elle fait ses passes. La mairie va jusqu'à lui accorder une cérémonie! Une prostituée qui défend si bien la morale, ça ne court pas les rues! Et puis elle est charmante au point que Frédé en tombe raide amoureux. Délaissant son argot et ses mauvaises manières, il lui fait une cour effrénée si bien que Mado cède. Le dernier épisode de ce court texte mène nos deux tourtereaux au mariage et leur nuit de noce est un savoureux épisode de vaudeville dans lequel leurs voisins de chambre d'hôtel se trouvent être un autre couples de mariés et un vieux libidineux. Sauf que le lit du couple voisin s'effondre et que ces derniers sonnent chez Frédé et Mado pour leur demander de partager le lit... pendant ce temps le vieux cochon observe la scène par un petit trou dans le mur. Comme il fallait s'y attendre, dans le noir, les jeunes mariés se trompent de partenaire. Bref, ce n'est pas de la grande littérature mais c'est réjouissant comme une petite cochonnerie populaire. Et je ne parle pas des illustrations! Funny 20's!
Pour ce neuvième post consacré aux éditions Prima, voici un savoureux petit roman de Jean Mascaraigne. Les amateurs de gaudriole explicite n'y trouveront pas leur compte mais ce n'est pas la spécialité de la collection Gauloise. Il s'agit une fois de plus d'un roman leste et canaille à l'humour très années 20. Revenant du service militaire, le môme Frédé, Frédéric Manillon, souteneur de père en fils, cherche une fille pour reprendre le travail. Dans son bar habituel, le bar des Quatre-Coins, il entend parler d'une pépée peu ordinaire qui se fait surnommer la Pucelle du Carrefour. Intrigué, il se rend sur le trottoir de la belle pour tenter de comprendre. Depuis quelques mois, la fille a un succès fou avec les hommes et se prétend vierge... En effet, c'est une fois le miché monté dans sa chambre, la belle Mado lui annonce qu'elle est vierge. Le type la paye et raconte le lendemain qu'il a passé la nuit avec une vierge. Le bouche à oreille fonctionne si bien que Mado devient la plus populaire des prostituées. Son commerce si particulier va même jusqu'à lancer des imitatrices qui prennent sa place sur le trottoir pendant qu'elle fait ses passes. La mairie va jusqu'à lui accorder une cérémonie! Une prostituée qui défend si bien la morale, ça ne court pas les rues! Et puis elle est charmante au point que Frédé en tombe raide amoureux. Délaissant son argot et ses mauvaises manières, il lui fait une cour effrénée si bien que Mado cède. Le dernier épisode de ce court texte mène nos deux tourtereaux au mariage et leur nuit de noce est un savoureux épisode de vaudeville dans lequel leurs voisins de chambre d'hôtel se trouvent être un autre couples de mariés et un vieux libidineux. Sauf que le lit du couple voisin s'effondre et que ces derniers sonnent chez Frédé et Mado pour leur demander de partager le lit... pendant ce temps le vieux cochon observe la scène par un petit trou dans le mur. Comme il fallait s'y attendre, dans le noir, les jeunes mariés se trompent de partenaire. Bref, ce n'est pas de la grande littérature mais c'est réjouissant comme une petite cochonnerie populaire. Et je ne parle pas des illustrations! Funny 20's!
jeudi 1 septembre 2011
Une fille à fouetter
Jack Norton. Une fille à fouetter. Ed. Le Trotteur, coll. Paprika, 1953. Couverture de Salva.
Le journaliste Gerbier (le bien nommé) est bien décidé à faire mieux que la police et à résoudre une énigme qui a coûté la vie à la prostituée Juliette Raton (la bien nommée également) et au mac Jojo la Balafre (le bien n…), dans l’hôtel de la Truanderie (le parfaitement nommé) du quartier des Halles de Paris. L’ambiance est posée. Manquent les petites pépées mais ça va pas tarder. Gerbier se rend donc sur les lieux tel un Tintin des bas-fonds pour investiguer le bouge. Il y rencontre Madame Sarah, une femme de 39 ans avec « un sourire d’entremetteuse » et la bonne, la dévouée Georgette qui l’accompagne jusqu’à sa chambre en ondulant du popotin comme c’est pas permis. Après quelques échanges sur le tarif de la chambre, la tenancière se montre assez peu farouche et colle ses lèvres sur celles de Gerbier… et embrasser un Gerbier c’est quelque chose, ça lui fait un effet monstre. « Je t’accorderai toutes les réductions que tu voudras, mais, je t’en supplie prends-moi. Ne me fais pas attendre. » Gerbier, en pleine investigation, ne peut aucunement refuser… « Le journaliste ne lésina pas. Il imposa sa loi d’une façon virile, même brutale, à grands coups de boutoir, comme s’il avait forcé une citadelle assiégée ».
Les jours passent. Gerbier fait mine de chercher du travail et la belle tenancière lui donne des billets par ci par là. Un jour elle lui présente un ami, M. Grapoulos (le bien nommé). Après quelques remarques très sympathiques sur sa sale gueule de métèque (car en plus d’être misogyne, un bon roman populaire se doit d’être un peu raciste), « le métèque adipeux » donc, lui propose un emploi. Il l’emmène dans un cabaret, son cabaret, où de jolies danseuses se trémoussent comme il faut. La petite Mimi finit la soirée avec eux, enfin surtout avec Gerbier, alors que le gros dégoûtant de Grapoulos les regarde baiser en bavant.
Grapou et Gerbig se serrent la main, le contrat est lié.
Notre Tintin concupiscent se retrouve un petit peu dans la mouise mais ça ne lui fait pas peur. Un homme de paille de Grapourri, Jeannot le Bagnard (le mal nommé car il n’a fait que 18 mois) le presse de se rendre au sous-sol du cabaret le corsaire où l’attend une mission. Gerbier y retrouve, derrière une porte secrète, le bon gros Poulos qui lui dévoile sa mission : aller refourguer de la « poudre blanche » planquée dans des paquets d’allumettes.
Gerbig est content, en plus il hérite d’un cabriolet. Du coup il se rend à son hôtel et, coup de chance, Sarah est partie ! La petite Georgette qui a le feu au troufion, en profite pour l’entreprendre du mieux qu’elle peut et tout ça finit dans un subtil mélange de caresses et de morsures et de grognage de satisfaction. Il est un peu chaud ce bouquin, quand même !
Bon c’est pas tout ça mais Gerbier a un nouveau taf. Il livre sa drogue dans divers bars de la capitale et s’aperçoit qu’il est poursuivi. Quelques pages plus loin, on lui tire dessus, il riposte et tue un homme dans la fusillade. Avant de quitter les lieux, il prend une photo du macchabée et en informe Grapoulos. Celui-ci trouve un peu louche qu’un pauvre type ait sur lui un appareil photo (comme un journaliste… vous suivez hein) mais ça ne va pas plus loin.
Gerbier tient informé le commissaire Grégoire de son avancée dans l’enquête et du type qu’il a laissé dans le caniveau, transpercé de trous fumants.
Deuxième fusillade, un escadron de sales types se pointe à l’hôtel à la recherche de Gerbier. Arrivés dans sa chambre, ils ne le trouvent pas et tirent comme des gros branques dans les murs. On a jamais demandé à des truands comme eux d’avoir des cerveaux. En repartant, l’un d’eux se fait descendre par Gerbier qui s’était bien caché, le filou. « La balle du mauser vint le cueillir en bas du crâne et sortit par l’œil gauche, arrachant la prunelle et éclaboussant de sang le comptoir », du travail de pro quoi. Bien gore.
Le commissaire Grégoire prévient Gerbier que ça commence à faire beaucoup de dégâts mais lui laisse continuer son enquête. Bravo la police !
Gerbier rejoint son nouveau patron Gradouble, furieux de voir son employé en retard. Gerbier lui raconte les derniers événements et le « métèque » lui dit de se faire discret pour quelques jours car la bande à Jim n’est pas une colonie d’enfant de chœur ! Tiens tiens se dit notre homme… ce Jim, n’était-ce pas le lieutenant du mac Jojo la Balafre, descendu dans ce même hôtel, et dont il tente de retrouver les meurtriers ? Et Juliette Raton dans tout ça ? Pourquoi l’auraient-il également descendue. Tintin a le cerveau qui fume.
Mimi, la jolie danseuse de cabaret, le recontacte. Elle a envie d’une partie de jambes en l’air, comme toutes les femmes dans ce genre de littérature burnée pour lecteurs exigeants. Sauf que Gerbier lui, pense à une autre pépée. Morte. Juliette Raton. Mimi lui apprend qu’elle bossait pour Gratriple, qu’elle ramenait des clients pour la drogue.
Quelqu’un sonne, c’est Jim ! Ahh, le piège ! Tintin se cache et surgit au moment où le truantd pensait avoir bien fouillé l’appartement, le combat commence et en deux temps trois mouvements, Jim valdingue PAR-DESSUS LA TROISIEME CORDE ! Désolé je m’emballe mais je commence à m’ennuyer un peu, en même temps le bouquin est presque terminé. Gerbier prévient les flics qu’ils ont un méchant à venir chercher. La police ne sert donc qu’à ramasser les types refroidis ou mal en point dans ce bouquin…
Gerbier est convoqué par son boss plein de soupe pour régler l’expédition punitive contre la bande à Jim. Pour cela il a recruté trois armoire normandes. Après avoir synchronisé leurs montres comme dans Parker Lewis, tous sont prêts. La Porte Maillot s’apprête à être un nouveau lieu de fusillade. Gerbier joue double. Les balles fusent, il s’en prend une dans l’épaule mais se sert du cadavre de Gaston, un des hommes de Grapou, pour se protéger.
La police se pointe et sort les lacrymo et nettoie la place. Elle retrouve notre Tintin qui ne s’est pris qu’une petite boulette dans l’épaule. A l’hôpital, le commissaire lui apprend que l’assassin de Jojo la Balafre était… Gaston. Voilà, super. Le suspense s’achève. On le connaissait même pas ce putain de Gaston. Mais qui a tué Juliette Raton alors ????? Bordel. En fait elle bossait à la fois pour Jim et pour Grapou, c’est malin ça, et Grapoulos l’a fait descendre. Et à la fin Tintin a une furieuse envie de baiser.
Que dire d’Une fille à fouetter (d’ailleurs c’est qui la fille à fouetter dans l'histoire?) Une lecture assez réjouissante au début, puis banale, puis vraiment chiante. Un suspense à faire doucement frétiller du linge sur sa corde, une fin à queue mais sans tête. Une très belle couverture de Salva en tout cas ! Et pis c’est marre !
Le journaliste Gerbier (le bien nommé) est bien décidé à faire mieux que la police et à résoudre une énigme qui a coûté la vie à la prostituée Juliette Raton (la bien nommée également) et au mac Jojo la Balafre (le bien n…), dans l’hôtel de la Truanderie (le parfaitement nommé) du quartier des Halles de Paris. L’ambiance est posée. Manquent les petites pépées mais ça va pas tarder. Gerbier se rend donc sur les lieux tel un Tintin des bas-fonds pour investiguer le bouge. Il y rencontre Madame Sarah, une femme de 39 ans avec « un sourire d’entremetteuse » et la bonne, la dévouée Georgette qui l’accompagne jusqu’à sa chambre en ondulant du popotin comme c’est pas permis. Après quelques échanges sur le tarif de la chambre, la tenancière se montre assez peu farouche et colle ses lèvres sur celles de Gerbier… et embrasser un Gerbier c’est quelque chose, ça lui fait un effet monstre. « Je t’accorderai toutes les réductions que tu voudras, mais, je t’en supplie prends-moi. Ne me fais pas attendre. » Gerbier, en pleine investigation, ne peut aucunement refuser… « Le journaliste ne lésina pas. Il imposa sa loi d’une façon virile, même brutale, à grands coups de boutoir, comme s’il avait forcé une citadelle assiégée ».
Les jours passent. Gerbier fait mine de chercher du travail et la belle tenancière lui donne des billets par ci par là. Un jour elle lui présente un ami, M. Grapoulos (le bien nommé). Après quelques remarques très sympathiques sur sa sale gueule de métèque (car en plus d’être misogyne, un bon roman populaire se doit d’être un peu raciste), « le métèque adipeux » donc, lui propose un emploi. Il l’emmène dans un cabaret, son cabaret, où de jolies danseuses se trémoussent comme il faut. La petite Mimi finit la soirée avec eux, enfin surtout avec Gerbier, alors que le gros dégoûtant de Grapoulos les regarde baiser en bavant.
Grapou et Gerbig se serrent la main, le contrat est lié.
Notre Tintin concupiscent se retrouve un petit peu dans la mouise mais ça ne lui fait pas peur. Un homme de paille de Grapourri, Jeannot le Bagnard (le mal nommé car il n’a fait que 18 mois) le presse de se rendre au sous-sol du cabaret le corsaire où l’attend une mission. Gerbier y retrouve, derrière une porte secrète, le bon gros Poulos qui lui dévoile sa mission : aller refourguer de la « poudre blanche » planquée dans des paquets d’allumettes.
Gerbig est content, en plus il hérite d’un cabriolet. Du coup il se rend à son hôtel et, coup de chance, Sarah est partie ! La petite Georgette qui a le feu au troufion, en profite pour l’entreprendre du mieux qu’elle peut et tout ça finit dans un subtil mélange de caresses et de morsures et de grognage de satisfaction. Il est un peu chaud ce bouquin, quand même !
Bon c’est pas tout ça mais Gerbier a un nouveau taf. Il livre sa drogue dans divers bars de la capitale et s’aperçoit qu’il est poursuivi. Quelques pages plus loin, on lui tire dessus, il riposte et tue un homme dans la fusillade. Avant de quitter les lieux, il prend une photo du macchabée et en informe Grapoulos. Celui-ci trouve un peu louche qu’un pauvre type ait sur lui un appareil photo (comme un journaliste… vous suivez hein) mais ça ne va pas plus loin.
Gerbier tient informé le commissaire Grégoire de son avancée dans l’enquête et du type qu’il a laissé dans le caniveau, transpercé de trous fumants.
Deuxième fusillade, un escadron de sales types se pointe à l’hôtel à la recherche de Gerbier. Arrivés dans sa chambre, ils ne le trouvent pas et tirent comme des gros branques dans les murs. On a jamais demandé à des truands comme eux d’avoir des cerveaux. En repartant, l’un d’eux se fait descendre par Gerbier qui s’était bien caché, le filou. « La balle du mauser vint le cueillir en bas du crâne et sortit par l’œil gauche, arrachant la prunelle et éclaboussant de sang le comptoir », du travail de pro quoi. Bien gore.
Le commissaire Grégoire prévient Gerbier que ça commence à faire beaucoup de dégâts mais lui laisse continuer son enquête. Bravo la police !
Gerbier rejoint son nouveau patron Gradouble, furieux de voir son employé en retard. Gerbier lui raconte les derniers événements et le « métèque » lui dit de se faire discret pour quelques jours car la bande à Jim n’est pas une colonie d’enfant de chœur ! Tiens tiens se dit notre homme… ce Jim, n’était-ce pas le lieutenant du mac Jojo la Balafre, descendu dans ce même hôtel, et dont il tente de retrouver les meurtriers ? Et Juliette Raton dans tout ça ? Pourquoi l’auraient-il également descendue. Tintin a le cerveau qui fume.
Mimi, la jolie danseuse de cabaret, le recontacte. Elle a envie d’une partie de jambes en l’air, comme toutes les femmes dans ce genre de littérature burnée pour lecteurs exigeants. Sauf que Gerbier lui, pense à une autre pépée. Morte. Juliette Raton. Mimi lui apprend qu’elle bossait pour Gratriple, qu’elle ramenait des clients pour la drogue.
Quelqu’un sonne, c’est Jim ! Ahh, le piège ! Tintin se cache et surgit au moment où le truantd pensait avoir bien fouillé l’appartement, le combat commence et en deux temps trois mouvements, Jim valdingue PAR-DESSUS LA TROISIEME CORDE ! Désolé je m’emballe mais je commence à m’ennuyer un peu, en même temps le bouquin est presque terminé. Gerbier prévient les flics qu’ils ont un méchant à venir chercher. La police ne sert donc qu’à ramasser les types refroidis ou mal en point dans ce bouquin…
Gerbier est convoqué par son boss plein de soupe pour régler l’expédition punitive contre la bande à Jim. Pour cela il a recruté trois armoire normandes. Après avoir synchronisé leurs montres comme dans Parker Lewis, tous sont prêts. La Porte Maillot s’apprête à être un nouveau lieu de fusillade. Gerbier joue double. Les balles fusent, il s’en prend une dans l’épaule mais se sert du cadavre de Gaston, un des hommes de Grapou, pour se protéger.
La police se pointe et sort les lacrymo et nettoie la place. Elle retrouve notre Tintin qui ne s’est pris qu’une petite boulette dans l’épaule. A l’hôpital, le commissaire lui apprend que l’assassin de Jojo la Balafre était… Gaston. Voilà, super. Le suspense s’achève. On le connaissait même pas ce putain de Gaston. Mais qui a tué Juliette Raton alors ????? Bordel. En fait elle bossait à la fois pour Jim et pour Grapou, c’est malin ça, et Grapoulos l’a fait descendre. Et à la fin Tintin a une furieuse envie de baiser.
Que dire d’Une fille à fouetter (d’ailleurs c’est qui la fille à fouetter dans l'histoire?) Une lecture assez réjouissante au début, puis banale, puis vraiment chiante. Un suspense à faire doucement frétiller du linge sur sa corde, une fin à queue mais sans tête. Une très belle couverture de Salva en tout cas ! Et pis c’est marre !